Ultime étape : d'e Case à Cargèse

    Après un bon petit-déjeuner, quelques photos avec le gardien et un dernier regard sur le gîte et au loin, à la mer du côté de Cargèse, nous attaquons  la descente  en sous-bois. Au bout d'une heure environ, nous arrivons à hauteur d'une bergerie où flotte le drapeau corse et où nous voyons quelques chèvres dans les champs.

    Le chemin devient carrossable et va nous mener jusqu'à un embranchement : d'un côté la route, qui mène à Cargèse et de l'autre un chemin qui grimpe dans la colline avant de redescendre aussi sur Cargèse. Avant cette bifurcation, nous nous arrêtons pour boire et manger le pain d'épices au miel acheté au gîte et offert par Marie-Hélène et Valérie .

    À l'embranchement, nous nous séparons. Les plus vaillants : Michel, Huguette, Danielle et René prennent à gauche par le chemin qui monte, et tous les autres décident de suivre la voie de la facilité, c'est-à-dire la route. Ceux qui ont pris la route, arrivent à Cargèse une heure après et vont boire un coup bien mérité dans un des nombreux bistrots de la ville.

    Les autres, nous rejoignent un peu plus tard, et tous, allons déjeuner, d'un repas tiré des sacs dans un jardin public avec une très belle vue sur la baie. Après le repas, nous dégustons des glaces ou des boissons fraîches en attendant le car de 15 H 30 qui va nous mener à Ajaccio. Ajaccio, où nous prendrons à 19:00, le bateau pour rentrer à Marseille.

    Dans ce bateau, le Girolata, nous avons réservé trois cabines de quatre et avant d'en profiter, nous dînons, tous ensemble, au restaurant du bord. Mireille nous fausse compagnie, car elle ne supporte pas le roulis en mangeant. Roulis encore plus sensible dans la salle de restaurant qui est située en haut du bateau.

     Une bonne nuit nous attend après la fatigue de ces dix jours de marche.

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